Eric Ostermann est un des sept photographes qui participera en octobre à l’exposition « Schieven Regards« .

Eric Ostermann a pris le parti de montrer Bruxelles sous un jour différent pour ouvrir les yeux de son public sur des endroits fréquentés parfois tous les jours sans réellement y prêter attention.
Ses trois créneaux, sont les photos de rue, les reflets et les photos prises des toits.

Dans le Cercle des Poètes Disparus, le professeur de lettres Robin Williams invite ses élèves à littéralement prendre de la hauteur pour voir le monde autrement. C’est le crédo d’Eric qui, au lieu de
monter sur un bureau, grimpe sur les toits de la ville. La toiturophilie lui donne un sentiment de calme et de sérénité, malgré tous les bruits de la ville toute proche qui se mélangent. Ce sont des moments de grâce qui lui permettent de se concentrer sur ce qu’il observe pour en ressortir le meilleur. Accompagner le soleil couchant et voir la ville s’éclairer depuis les toits de Bruxelles est déjà un réel plaisir, mais partager cela au travers de la photographie l’est encore plus.

Parallèlement, les photos de rues occupent une bonne partie de son temps dédié à la photographie. Chaque week-end, il descend en ville, afin d’y capter des détails et les scènes spontanées qui se présentent à lui.

Les reflets, qu’il prend dans les flaques d’eau, fontaines et autres étangs l’amènent à rechercher des compositions photographiques parfois compliquées et totalement invisibles si on n’y prête pas attention. Devoir se baisser au ras de sol à la recherche du reflet parfait du sujet à photographier l’amène à des résultats en général aussi surprenants que déroutants.

 

Eric Ostermann : photographe du collectif Bruxelles-Pixels from patrice niset on Vimeo.

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